, Académie royale le 28 janvier 1679, avec un portrait en buste de Charles Le Brun (Paris, musée du Louvre), voir SOUCHAL François (dir, pp.176-224, 1977.
, Il existe moins de bibliographie sur les Thierry Jean le père (1609-1679) et Jean le fils (1669-1739) Jean fils, élève de Coysevox, fut agréé à l'Académie royale 28 septembre 1714, reçu le 31 décembre 1717 avec une Léda et le cygne (Paris, musée du Louvre), et devint adjoint à professeur lors de la séance du 30 octobre 1728. Entre 1721 et 1728, il fut au service de Philippe V d'Espagne ; sur ce séjour et les travaux qu'il y réalisa, voir BOTTINEAU Yves, pp.1658-1733, 1962.
, Académie royale de Paris le 30 juillet 1701 avec deux portraits au pastel, celui de François Girardon et celui de Robert de Cotte (tous deux conservés à Paris, musée de Louvre, département des arts graphiques) Il passa une grande partie de sa carrière aux cours de Cologne et de Bavière, Voir JEFFARES Neil, pp.1657-1734, 2006.
, puis se rendit ensuite à Munich, où il fut nommé peintre et architecte de la cour entre 1672 et 1684 Après une étape à Paris, il s'installa enfin à Lyon où il travailla notamment pour les jésuites au Collège de la Trinité. Son fils, se forma à ses côtés, puis réalisa un voyage en Italie (MASCOLI Laura (éd.), Le "Voyage de Naples" (1719) de Ferdinand Delamonce, pp.1635-17081678, 1984.
, Lyon en 1731 pour y effectuer plusieurs travaux, notamment à l'église de la Chartreuse, Sur ces deux artistes, on The drawings of Ferdinand Delamonce », Master drawings, pp.13-23, 1984.
, 1663-1738), graveur du roi, et ses élèves, Pierre-Imbert Drevet (1697-1739) Claude Drevet (1697-1781), thèse de doctorat de l'Université Lumière- Lyon II, ss. dir, Collectionneurs et amateurs d'art à Lyon au XVIII e siècle, pp.47-90, 1980.
, ou Spire) (1642-1681), originaire de Nancy, moins connu que son frère François (1639-1681), avec qui il voyagea en Italie. À son retour, il s'installa à Lyon et travailla notamment dans le choeur de l'église Saint-Nizier, 2009.
, Après son voyage d'Italie, vers 1668-1670, il s'installa à Lyon où il réalisa des décorations pour des maisons de campagne, comme celle de l'échevin Gabriel Glatigny à Saint-Genis-Laval (Rhône), et pour des hôtels particuliers. Il se spécialisa dans les tableaux de paysages, notamment les marines et les vues de ports de mer, qu'il diffusa par le biais de l'estampe. Sur cet artiste et ses collectionneurs, pp.1631-1705, 1630.
, sculpteur lyonnais (1660-1727) », Puget et son temps, actes du colloque, Aix-en-Provence, Presses universitaires Le piédestal de la statue équestre de Louis XIV, place Bellecour, et le bas-relief de l'Hôtel de Ville ont été détruits à la Révolution, sculpteur installé à 1760), architecte et sculpteur installé à Lyon, pp.125-135, 1731.
, Daniel Sarrabat s'installa à Lyon à son retour d'Italie. Il y réalisa de nombreux décors dans plusieurs maisons de campagne (dont un plafond et deux panneaux pour un salon de la maison de Melchior Philibert à Charly) et hôtels particuliers de la ville. Voir notamment FLORENNE Lise, Les tableaux de Daniel Sarrabat (1666-1748) », L'art baroque à Lyon, actes du colloque, pp.1688-1690, 1975.
, Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, 4 e série, Académie, vol.10, pp.221-371, 2011.
, qu'il réalisa pendant son séjour dans la ville entre 1739 et 1741, sont perdues. (18) La terre cuite du Mercure attachant ses talonnières fut accepté pour l'agrément de Pigalle en 1741 et sa version en marbre, comme morceau de réception, en 1744 (Paris, musée du Louvre) Une version en marbre, plus grande, fut offerte en 1750 par Louis XV à Frédéric II de Prusse pour son Château de Sans-Souci ; elle se trouve aujourd, pp.1714-1785, 1985.
, Il s'agit de Jean de Lacroix-Laval (1705-1771), le frère de l'abbé Lacroix, conseiller du roi en la Cour des monnaies
, Soufflot et son temps, p.22, 1980.
, Les maisons lyonnaises de Soufflot et de ses collaborateurs », Soufflot et l'architecture des Lumières, pp.125-1331708, 1980.
, Académie des sciences, Michel-Ange Slodtz et les bustes d'Iphigénie et de Chrysès Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, pp.169-179, 1792.
, 1684-1765), gouverneur du Lyonnais de 1734 à 1763. (24) François de la Rochefoucauld, marquis de Rochebaron, commandant pour le roi à Lyon et dans la province du Lyonnais et du Beaujolais, mort en 1766. (25) Jean-Baptiste Flachat de Saint-Bonnet, prévôt des marchands de 1752 à 1764, qui subvint aux frais de l'École de dessin avec l'aide d'autres mécènes
, 1679-1758), cardinal archevêque de Lyon de 1740 à 1758 Voir également les travaux que Soufflot réalisa à sa demande : GARDES Gilbert, « Travaux pour Monseigneur de Tencin », Soufflot et son temps, pp.28-31, 1980.
, (29) Cet hôtel particulier, situé place du gouvernement, sur la rue Saint-Jean, avait été vendu à la ville par la famille de Villeroy ; il accueillit l'école de dessin entre 1761 et 1762. (30) Sur les élèves de l'école, voir PEREZ Marie-Félicie, « Soufflot et la création de l'école de dessin de Lyon, Soufflot et l'architecture des lumières31) Charles-Jacques Leclerc de la Verpillière (ap, pp.1720-1797, 1980.
, Il s'agit de l'ancienne chapelle des Grands-Artisans, située à l'est de l'actuel passage Ménestrier, en face d'une autre chapelle, placée à l'ouest, et destinée à la congrégation des Affaneurs (FOUILLOUX Étienne, Les Jésuites à Lyon, XVI e -XX e siècles, 2005.
, Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, 4 e série, Académie, vol.10, pp.221-371, 2011.
, 1724-1794), le 6 juin 1764, ce qui explique que, dans la version postérieure du manuscrit, conservée à la bibliothèque municipale de Besançon, il soit indiqué que la collection Bouret devint la collection Laborde, bâtisseur du Pavillon du Roi », L'art et les normes sociales au XVIII e siècle n° 21). La commande échut au peintre vénitien Giovanni Antonio Pellegrini (voir notamment GARAS Clara, « Le plafond de la banque royale de Giovanni Antonio Pellegrini », Bulletin du musée hongrois des Beaux-Arts, pp.1709-1777, 1962.
, Nicolas-Bertin (1668-1736), peintre d'histoire, 1981.
, 1684-1747) : enlightened patron, benighted impresario », Curiosité : études d'histoire de l'art en l'honneur d'Antoine Schnapper, pp.389-405, 1998.
, mais pour son texte sur la légèreté d'outil, paru dans le Mercure de France, en septembre 1756 (29) Ajouté en marge dans le manuscrit : « M. de Caylus. » (30) Le décor, réalisé par Thomas Blanchet, avait disparu dans l'incendie du 13 septembre 1674, 28) Nonnotte désigne de nouveau Caylus31) Saint-Pétersbourg, pp.207-2151614, 1984.
, et cat. n° 95 ; L'Apothéose d'Hercule de François Le (34) Voir ci-dessus, notre note 8. (35) Sur ce concours, que Nonnotte évoque également dans sa suite d'observations sur la peinture (sur les dangers de la présomption), pp.61-68, 1977.
, Siècle de Louis XIV, tome 2, article des arts et, d'après lui, l'Encyclopédie, au mot " école " » Il s'agit de (catalogue « Des peintres, sculpteurs, architectes, graveurs », article « Le Moyne ») et de l, pp.431-432, 1751.
, Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, 4 e série, Académie, vol.10, pp.221-371, 2011.
, Collection privée (BORDEAUX Jean-Luc, p.71, 1984.
, La petite version, mentionnée ci-après est passée en vente chez Sotheby's, Paris, le 24 juin, 1984.
, 1902) ; peut-être deux de ces toiles sont celles conservées à Varsovie, collection privée (BORDEAUX Jean-Luc, pp.93-94, 1984.
, Allégorie de la musique, Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage (BORDEAUX Jean-Luc, pp.62-63, 1984.
, Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, 4 e série, Académie, vol.10, pp.221-371, 2011.