J. Maintenant and /. L. Christ, astre et l'étoile qui nous éclaire. [trad

. Quand-je-fuis, Ce monde plein de tromperie / Je cherche l'humide allée, / L'allée fraîche où s'endort / Le bruit des villes, et où s'épanouit / Le coquelicot dans les blés d'or. [trad

. Sur-ma-tête-le-ciel-bleu, Sous mes pieds la terre blonde, p.15

. Ainsi, uniformité des langues officielles approchées, l'observateur verra notre dialecte s'enrichir de l'arrivée de tous les parlers d'Oc, sa grammaire insensiblement se simplifier, s'assouplir

G. De-façon and . Valère, Bernard s'insurge contre le regard qui vient de Paris et qui menace les arts du sud : Dins quete mita que se plasèn, oubrié, endùstri, inteletuau uno soulo preócupacioun dóumino : Paris ! coume travaion à Paris, coume s'engenion, p.54

. Ecrivain-ou-félibre, Valère Bernard clame le droit à chercher et trouver librement son destin là, dans le corps que chacun habite et dans le pays de ses aïeux. Pour les artistes comme lui, l'homme cherche trop souvent à l'extérieur les lois de l'harmonie qu

. Donc, homme cherche partout ces lois d'harmonie qu'il porte en lui-même et qui lui font éprouver de la joie lorsqu

L. La-beauté-de-la-langue-française, qui la contredit ! ? Mais l'unité sans la diversité, c'est la mort, mais à côté de la langue française, il y a la Langue d'Oc qui n'est ni le « latin du pauvre », ni un « patois », mais une langue fière, une langue noble, une belle langue qui peut montrer ses titres de noblesse autant que l'autre, et qui, plus riche que l'autre, en raison de l'admirable varité de ses dialectes, p.39

». Mystica and . Le, Sancta Virgo Virginium ») : une longue méditation de l'artiste entamée depuis 1896 avec l'objectif d'une série de gravures qui se termine avec les dix-sept poèmes de Letanìo. Le 23 mai 1934, il conçoit les vers ci-dessous : Bèl eissame de parpaioun 'mé sis alo d'argènt, d'or e d'azur fougouso

L. Cadarau and ?. Charniers, Mount-pelièr, Emprimarié Centralo d'où miejour, 1884.

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. Lindaflor, rèina dels Somnhes, poeme, version occitana e rodaneca am traduccion franceza, Castelnàudari, Colètge d'Occitania, 1938.

. Bel-essaim-de-papillons, Aux ailes d'argent, d'or, d'azur et ardentes, / Clair éblouissement de rayons, Gracieux petits anges d'une troupe joyeuse / Qui forment comme un limbe vivant / À la céleste Reine gracieusement assise, Sur un arc-en-ciel mouvant / Qui entoure notre monde dans son grand cercle

L. Bóumian-les and . Nomades, texte en provençal traduit en français par Paul Souchon, Le Feu, pp.1-5, 1905.

T. Bagatouni, du provençal par Paul Souchon, préf. par Paul Souchon, 1918.

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