, « Le syndrome de l'aquarium, à propos des films de Michael Mann, vol.16, p.84

L. Eisner and L. 'écran-démoniaque, , p.143, 1973.

, Si l'on ne tient pas compte de l'épilogue du Dernier Des Hommes, rajouté après coup pour satisfaire, dit-on, l'amour-propre d'Emil Jannings qui n'appréciait guère le final désenchanté. A moins qu'il ne le fut pour des raisons purement économiques imposées par la UFA