B. B. , « Le tableau talismanique de l'empereur de Jade. Construction d'un objet d'écriture, L'Homme, vol.34, issue.129, pp.59-92, 1994.

B. , Empowered writing: exorcistic and atropopaic rituals in Medieval China, 2012.

B. , Observations sur les sculpteurs de statuettes religieuses du Hunan », Cahiers d'Extrême-Asie, vol.19, pp.135-181, 2010.

D. H. , La lecture des talismans chinois, 1913.

H. C. , Monnaies d'offrande et la notion de trésorerie dans la religion chinoise, 1975.

D. M. , Daoistische Schriftmagie : interpretationen zu den Schriftamuletten Fu in Daozang, 1994.

M. ;-«-le-talisman-dh?ran?-stein, (dir.) La fabrique du lisible en Chine, Institut des Hautes Etudes Chinoises, vol.170, pp.273-278, 2014.

M. C. , Ofuda, Images pieuses du Japon, Actes du symposium Ofuda, The Japanese Pantheon in Miniature, 2014.

M. C. , Écrits saints et talismans : mythe et pratique », in Delacour C. (dir.) La voie du Tao, pp.103-109, 2010.

M. C. , Buddhism and Taoism Face to Face : Scripture, Ritual, and Iconographic Exchange in Medieval China, 2008.

«. Démesure, 2e Congrès international de l'AFEA, 2015.

M. C. , « Les talismans pour accroître le capital-vie, Ecole pratique des hautes études, Hautes études orientales, pp.155-188, 2007.

M. Talismans, (dir.) Divination et société dans la Chine médiévale, pp.403-429, 2003.

R. J. , Signs of Power : Talismanic Writing in Chinese Buddhism, vol.48, pp.130-169, 2008.

S. Natalias and C. , « The Bologna defixio(nes) revisited », Zeitschrift für Papyrologie und Epigraphik 179, pp.201-217, 2011.

. Schmitt-j-c, Le corps des images. Essais sur la culture visuelle du Moyen Âge, 2002.

T. S. , The Magical Power of Words, vol.3, pp.175-208, 1968.

«. Démesure-;-toulouse, C. , M. Et, T. , and H. , « You don't joke with these fellows. Power and Ritual in South Kanara, 2e Congrès international de l'AFEA, pp.23-42, 2003.

C. , M. Et, T. , and H. , A quelle Nation se vouer ? Les représentations diversifiées de l'État au Sud Kanara, pp.305-335, 2010.

C. and J. , « La chanson de la terre qui tremble ou la punition du roi qui avait voulu régner sans sa reine », Cahiers de Littérature Orale 29, pp.125-156, 1991.

G. and J. , « Reconsidering Kingship in India: An Ethnological Perspective », in Galey, JC. (dir.) Kingship and the Kings, pp.123-187, 1989.

G. and C. , Le Discours du Destin. La pratique de l'astrologie à Bénarès, 2013.

G. , B. Et, and M. , « Analyzing Rumors, Gossip and Urban Legends through their Conversational Properties, The Psychological Record, vol.56, pp.23-34, 2006.

J. , C. Paris, F. Nandy, and A. , The Romance of the State and the Fate of Dissent in the Tropics, 2003.

P. and F. , Sacrificing People : Invention of a Tribal Landscape, 2009.

R. R. , « Inside rumor : A personal journal, American Psychologist, vol.46, pp.484-496, 1991.

S. and T. , Improvised News : A Sociological Study of Rumor, 1966.

T. and H. , « Réflexions sur les mythes de fondation des royaumes Rajput, N. Revel et C. Champion (dir.) Les itinéraires de voix : les épopées. Les rites de fondation, pp.37-54, 1996.

«. Démesure, « In Hell the One Withouth Sin Is Lord: Sino-Japanese Tales of Descent into the Underworld, vol.109, pp.1-60, 2000.

F. and J. , The Boundaries of Compassion: Buddhism and National Tradition in Japanese Pilgrimage, vol.41, pp.231-51, 1982.

K. ??, Fusô Ryakki ????, p.12, 2003.

G. S. ???-;-konoha-goromo, . Suzukake-goromo, ?. Tôunkuji, ?. , and ?. ?. , , 1975.

G. and S. , « Voyage en Enfer, 2014.

H. and T. ?-?-?-?, « The Daoist Facet of Kinpusen and Sugawara no Michizane Worship in the Dôken Shônin Meidoki : A Translation of the Dôken shônin meidoki, Pacific World, Third Series 11 : Celebrating the Sixties Anniversary of the Institute of Buddhist Studies, pp.273-305, 1949.

H. and H. ????, Shô no iwaya' no keishô : Saigyô no shûkyô wo meguru waka no tsukurikata <????>??? : ???????????????? », Shûkyô wo meguru chûsei no setsuwa, vol.57, pp.28-36, 2008.

H. and I. ???, Self-Mummified Buddhas in Japan, an Aspect of the Shugen-dô ('Mountain Asceticism') Sect », vol.1, pp.222-264, 1962.

K. T. ????, K. Y. ????, and K. S. ????-(dir, , 1989.

?. Kokushi-daijiten, Kokushi daijiten henshû inkai hen ??????? ????, 1979.

L. A. Fleur and W. , « Saigyô and the Buddhist Value of Nature, Part I, History of Religions, vol.13, issue.2, pp.93-128, 1973.

L. A. Fleur and W. , « Saigyô and the Buddhist Value of Nature, Part II, History of Religions, vol.13, issue.4, pp.227-275, 1974.

L. and T. , Ascetic Practices in Japanese Religion, Japan Anthropology Workshop Series, 2014.

M. and H. ???, Shugendô shisô no kenkyû ????????, Shugendô Jiten ?????, Tôkyô, Tôkyôdô shuppan, 1985.

P. , Bibliothèque de Institut des hautes études japonaises, 2006.

M. G. , Sâdhu-Seeker of Truth (DVD), 2012.

R. , S. Et-roth-c.-;, U. , S. Saigyo, and . ??, Sanka-shû, Kikigaki-shû, zan-shû ???, ???, ??, Là où les montagnes volent (DVD), 2003.

K. Sonoda and . ????, Kodai bukkyô ni okeru sanrin shugyô to sono igi, tokuni Jinenchishû wo megutte 1 ?????????????????????????? ????1, vol.4, pp.45-60, 1957.

S. , U. München, . Piper, and R. Stein, Speed-Die drei großen Nordwände der Alpen in Rekordzeit, Grottes-matrices et lieux saints de la déesse en Asie Orientale, 1988.

T. and R. , Japanese Tales, 1987.

«. Démesure, 2e Congrès international de l'AFEA, vol.14, 2015.

A. and N. , « Introduction : des rapports entre la main et l'esprit en anthropologie, 2015.

A. and P. , « The practice of bugang », Cahiers d'extrême Asie 5, pp.15-53, 1990.

B. and B. , « Entrer en montagne pour y rêver : le mont des pierres et des bambous, vol.26, pp.99-122, 1996.

B. , G. Paris, L. Seuil, M. Baussant, and M. Bousquet, Mémoires et usages religieux de l'espace, vol.15, 1977.

B. and H. , L'évolution créatrice, 1907.

B. , A. Paris, . Belin, and B. Berthier, Écoumène. Introduction à l'étude des milieux humains, vol.101, pp.86-100, 1987.

B. and M. , How We Think They Think, Des faux authentiques. Tourisme versus pèlerinage, vol.33, pp.41-56, 1998.

D. , C. Paris, . Trédaniel, and C. Despeux, Taijiquan, art martial, pratique de longue vie, Le corps, champ spatio-temporel, souche d'identité, vol.137, pp.87-118, 1981.

D. and C. , « Âme et animation du corps : la notion de shen dans la médecine chinoise antique », Extrême-Orient Extrême-Occident 29, pp.71-94, 2007.

D. , N. Et, B. , and J. , La force des dispositifs », Annales. Histoire, Sciences Sociales

F. and G. , « A Daoist career in Modern China. Wang Xin'an of the Southern Peak, Journal of Daoist Studies, vol.4, pp.104-138, 2011.

F. and G. , Construction hagiographique et communautaire dans le taoïsme Chunyang », Études chinoises, vol.33, pp.57-85, 1935.

G. and M. , « Remarques sur le taoïsme ancien, pp.146-151, 1925.

H. and F. , « Moitiés d'hommes, pieds déchaussés et sauteurs à cloche-pied, vol.18, pp.5-14, 1992.

H. and C. L. , Monnaie d'offrande et la notion de trésorerie dans la religion chinoise, 1975.

I. and T. , The Perception of the Environment: Essays on Livelihood, Dwelling and Skill, 2000.

I. and T. , Culture on the ground: the world perceived through the feet », vol.9, pp.315-340, 2004.

I. and T. , « Footprints through the weather-world: walking, breathing, knowing », Journal of the Royal Anthropological Institute, vol.16, issue.1, pp.121-139, 2010.

L. and F. , « La montagne, lieu de rencontres et de métamorphoses », Corps, performance, religion. Études anthropologiques offertes à Philippe Jespers, 2007.

«. Démesure, 2e Congrès international de l'AFEA, p.15, 2015.

P. Paris, , pp.187-200

L. E. Breton, D. Paris, . Métaillé, and R. Mathieu, Études sur la mythologie et l'ethnologie de la Chine ancienne, 1983.

M. and T. , « Mountains and Early Daoism in the Writings of Ge Hong, vol.55, 2015.

P. and P. , « La vie, un objet pour l'anthropologie ? Options méthodologiques et problèmes épistémologiques, vol.4, pp.159-189, 2014.

R. , A. Robinet, and I. , Solitaire ou solidaire, ce geste fondateur, Primus Movens et création récurrente », Taoist resources, vol.5, pp.29-69, 1994.

R. and J. , Power of place : The religious landscape of the Southern sacred Peak [Nanyue ??] in medieval China, 2009.

R. and J. , « La Proprioception : un sens premier ?, pp.49-66, 2003.

S. and E. , Pacing the void. T'ang approaches to the stars, 1977.

S. and K. , « Purifier l'autel, tracer les limites à travers les rituels taoïstes, Detienne, M. (dir.), Tracés et fondations, Louvain et Paris, Peeters, pp.31-47, 1990.

S. and J. , Dry Spells: State Rainmaking and Local Governance in Late Imperial China, 2009.

R. Stein, Grottes-matrices et lieux saints de la déesse en Asie orientale, 1988.

T. and Y. ???-(dir, Nanyue quzhi ????, 1996.

H. Thoreau, . Paris, . Fayard, and O. Vallet, De la marche, Trois marcheurs, pp.85-93, 1996.
URL : https://hal.archives-ouvertes.fr/dumas-01148201

W. and G. , The Middle Yangtze in T'ang Politics, pp.193-235, 1973.

W. and J. , Alchemy, Medicine and Religion in the China of A.D. 320: The Nei Pien of Ko Hung, 1966.

D. and G. , « L'homme sans honneur ou le saint scandaleux, Civilisations, vol.45, issue.4, pp.929-939, 1990.

D. and J. , , 1986.

D. , M. Paris, . Gallimard, and F. Gauthey, « Ronger la tête de ses parents » dans Dionysos mis à mort, Vie et oeuvres de la bienheureuse Marguerite-Marie Alacoque, 3 volumes, 1915.

G. J. , La mystique divine, naturelle et diabolique, 5 volumes, 1861.

M. and J. , Mystique et féminité. Essai de psychanalyse sociohistorique, 1997.

M. and J. , Anorexies religieuses, anorexies mentales, 2000.

P. and A. , Comprendre le tantrisme : Les sources hindoues, 2010.

R. and G. , Renoncement et puissance. La quête de la sainteté dans la Birmanie contemporaine, 2005.

V. and A. , Les laïcs au Moyen Âge, 1987.

B. J. , Vie de la bienheureuse Lidwine, vierge

«. Démesure, Toulouse Ce texte, malgré les apparences, ne vise pas un ennemi imaginaire, construit ad hoc, mais, pour l'essentiel, rapporte fidèlement des positions effectivement défendues (voir infra), dont les conséquences sont seulement ici poussées à l'extrême. Ainsi la liberté morale permise par la négation du pêché n'allait pas, dans les écrits ranter, jusqu'à innocenter le meurtre ou l'inceste dès lors qu'ils étaient commis d'un esprit pur, quoique, d'une certaine façon, cela dût en être une conséquence logique. Du reste cette position est liée à la doctrine de la foi seule et de l'élection. À ce titre, 2e Congrès international de l'AFEA, 2015.

. William-tyndale-au-siècle-précédent, Coppe, si l'on en croit l'un de ses critiques, a souligné, mais comme bien d'autres, que le meurtre que s'apprêtait à commettre Abraham sur son fils Isaac était un acte sanctifié 13. Cependant, dans ses écrits, il adopte une posture que l'on dirait aujourd'hui non violente, prenant explicitement le contre-pied des Levellers, récusant le glaive et l'action par le glaive 14. Clarkson tient à préciser que, au sommet de ses pratiques ranter, il transgressa la loi en tous points « excepté le meurtre » et il s'en explique ainsi : « La base de mon jugement était que Dieu avait fait toutes les choses bonnes, et que rien n'était mauvais sauf ce que l'homme jugeait être tel ; ainsi je considérais qu'il n'y avait rien de tel que vol, tromperie ou mensonge, mais tels que l'homme les a faits ; de sorte que si la créature avait conduit ce monde de façon à ce qu'il soit sans propriété, sans Tien et Mien, il n'y aurait point de titre comme voleur, trompeur ou menteur » 15. Ce passage nous montre à quel point la position ranter est indissolublement politique et théologique ; la suppression de la propriété privée et le retour à une condition d'égalité mystique naturelle sont donnés comme la solution à tous les malheurs de l'humanité, sans avoir besoin d'imposer un quelconque rigorisme moral en contradiction avec une théologie qui nie l'existence du mal et du péché. Cette position conduisait aussi à innocenter les actes qui ne seraient d'aucune manière en contradiction avec la condition d'égalité de tous les hommes en Dieu : ainsi de la liberté sexuelle et de toute forme d'hédonisme spirituel et physique, de la boisson, qui avait bien écrit que « Voler et tuer ne sont pas des oeuvres saintes pour les "mondains", mais ils sont sanctifiés chez ceux qui ont foi en Dieu

, nous penserions avoir affaire à une chasse aux sorcières, à la construction ex nihilo d'un monstre représentant le comble à la fois de l'hérésie, de l'irréligion et de l'immoralité, bref à une projection extrême de la manière dont l'hérésie a toujours été appréhendée, à partir de l'inconduite dans les moeurs à laquelle elle mènerait fatalement ou qu'elle aurait pour tâche de justifier. Assurément les Ranters sont vus par leurs nombreux ennemis comme les rejetons et la quintessence des hérésies anciennes décrites dans la littérature patristique et hérésiologique (toujours mobilisée dans la littérature de controverse religieuse au XVII e siècle), comme l'association de fausses doctrines et de comportements dévoyés, mais dans un contexte politique marqué par une relative tolérance de positions hétérodoxes, au terme d'un processus d'acceptabilisation de la diversité des opinions religieuses (au moins chrétiennes) qui avait conduit jusqu'à mettre de côté la notion d'hérésie, à laquelle se substitue cependant, À parcourir cette série de propositions, si nous n'avions pas les textes mêmes des Ranters

, bade Abraham slay his son : and he that said thou shalt not commit adultery, said to Hosea, The Bottomless Pit Smoaking in Familism: as it May Appeare by a Short Discourse on Gal. I. 9. Together with Some Brief Notes on Ab

. Burford, Mais voir Holland, dont le compte rendu paraît fiable : « They say God will is his law, for sometimes he commands men to kill, to steale, and to lye; and at other times he commands the contrary, hereon they infer that we living in God, and God in us, why may not we do the like ? and if it be a sin to kill, so steale, p.85

, « ? never drew sword, or shed one drop of many mans blood », The Fiery Flying Roll, p.85, 1983.

A. Single-eye, , p.182, 1983.

«. Démesure, Toulouse auxquels sont adjoints, le cas échéant, la sodomie et l'inceste 17. Ils « osent impudemment-prétend le pamphlet intitulé The Ranters Religion-, affirmer que l'homme qui ingurgite le plus d'alcool, jure le plus fréquemment, commet l'adultère, l'inceste ou la bougrerie le plus souvent, qui blasphème avec le plus d'impudence, et commet les crimes les plus notoires avec le plus d'autorité et la détermination la plus grande, 2e Congrès international de l'AFEA, vol.18, 2015.

C. &apos;est-qu&apos;en, «. Le-même-texte, . Ces-cuistres-licencieux-soutiennent-que-toute-lubie,-toute-envie-de-jurer, . De-putasser,-voire-de-commettre-l&apos;inceste-ou-la-sodomie, . Vient-de-dieu et al., Ces textes retiennent des Ranters que leur pratique des actes déviants est inséparable d'un discours de justification théologique, proprement scandaleux-blasphématoire-, puisqu'il repose sur l'idée que Dieu préfèrerait les mauvaises actions aux bonnes et qui plus est serait la source et l'auteur des mauvaises comme des bonnes. Il s'agit d'une version évidemment tendancieuse de la position hétérodoxe et déviante entre toutes consistant à faire de Dieu l'auteur du péché ou, plutôt, à en nier l'existence. Mais la liste des déviances, des « péchés » sanctifiés, telle qu'elle apparaît, est instructive, qui associe étroitement les désordres sexuels, la boisson et les crimes de langue : jurement et blasphème. Ceux-ci jouent un rôle d'ailleurs central, car ils sont considérés comme inhérents à l'emprise de la boisson et à la pratique d'une sexualité déviante (l'omniprésent mot de whore suffit à l'attester) et à la fois caractérisent la doctrine qui justifie ces vices, dès lors qu'elle invoque Dieu comme excuse et comme garant. Il s'agit, non par hasard, de tous les comportements les plus sévèrement blâmés par la morale chrétienne conventionnelle et tout particulièrement par la morale puritaine calviniste qui, vol.19

L. , 1993) qui prétend établir que le chrétien n'est plus soumis aux lois du décalogue-c'est-à-dire selon l'adage répété dans tous les textes, affirmant que « tout est pur aux purs » (épître de Paul à Tite, 1, 15)-apporte une extraordinaire libération des carcans de la morale puritaine ; cela vaut pour tous les interdits moraux, sexualité, débauche, etc. mais aussi, au premier chef

J. Voir-la-liste-fournie-par and . Chandler, Oh ye Libertines) is not willful murder something ? and Sodomy something ? and Men with Men and Women with Women committinf lithynesse something ? and Man to engender with Beast something ? and for a Withc out of malice, without just cause given, to do mischief upon the Bodies of Men, or the innocent Beast something ? or to curse ones Maker, something ?, p.13, 1659.

R. H. , On retrouve le même passage, à la lettre, dans A Ranters Declaration (16 décembre 1650, Londres, by J. C.), mais réinséré dans le contexte d'une assemblée ranter qui se serait tenue le 11 octobre 1650, The Ranters Religion. Or, A faithful and infallible Narrative of their damnable and diabolical opinions, with their detestable lives and actions, vol.11, p.13, 2002.

, « God is so far from being offended at the crying sins of drunkeness, swearing, blaspheming, adultery, etc. that he is well pleased therewith?, p.158, 2002.

«. That-to-feast, . Revell, . Drinke, R. Sing, and . Oathes, and to lye with a Whore, though in the Market-place, was as good Actions, as to Pray, Preach, or perform other Duties of Christian Religion », The Ranters Last Sermon (« written by, p.4

C. &apos;est-ce-que, J. Le-pamphlet-d&apos;un-nommé, and . Holland, qui décline les opinions des Ranters sur le Christ, déniant à celui-ci une existence humaine, ou bien affirmant que son ministère a cessé, mais d'abord avec le plus grand respect, voire avec une sincère dévotion : Ils disent que le Christ n'était qu'une forme, ou une ombre, ou une apparition charnelle de Dieu, et rien plus, et que ce qu'il fit par sa souffrance était pour lui-même, car personne n'eut ni n'aura jamais aucun bénéfice de sa souffrance sinon pour lui-même 22. Que le ministère du Christ à la fois par lui-même, ou par ses apôtres comme il est établi dans les Écritures, a cessé, tout comme le ministère d'Aaron ; d'autres parmi eux disent, que ce que le Christ fit dans la chair, il le fait maintenant sur nous par l'esprit, et que nous n'avons plus à regarder et à penser au Christ qui mourut à Jérusalem, mais nous devons penser le Christ en nous-mêmes ; d'autres d'entre eux disent que ce que le Christ fit dans sa propre personne fut seulement une figure ou un modèle de ce qui doit être fait et accompli en chaque homme

, Ce texte, qui atteste par sa précision la fréquentation assidue par son auteur des groupuscules d'individus incriminés pour rantérisme, est très important pour appréhender la grande diversité des

, Voir les nombreux exemples donnés par Luca Addante dans le mouvement valdésien, qui rejoint tout à fait les observations que l'on peut faire au sujet du cas de Menocchio étudié par Ginzburg (1980) ou de celui de Jacques Gruet à Genêve, 2006.

, saying Christ's humane nature was defiled with sinne, and that he offered sacrifice for his owne sinnes, as well as for the peoples, and that all men showld be saved ; denying hell or heaven to be any other than what was within him ; and many such damnable tenants?, Voir les raisons invoquées pour arrêter Richard Coppin : « for preaching and maintaining severall blasphemous tenants, p.486, 1655.

J. Holland, The Smoke of the bottomlesse pit, pp.2-3

«. Irreligious-religions, ». , and J. Taylor, Ranters of both sexes?, p.1651

«. Démesure, ;. Familists, ». Seekers, and ». , Holland nous montre bien la liberté, l'inventivité et l'audace des discussions, et en même temps le glissement qui pouvait s'y opérer, très aisément, d'un individu à l'autre, mais aussi entre les mêmes, de la spéculation théologique abstraite aux sarcasmes, à l'ironie grinçante, et à ce qu'il faut bien nommer irréligion (un texte parle d'ailleurs « d'irréligieuses religions » 24 ). Holland, en effet, à la suite de cette revue des opinions ranters, poursuit en disant que « c'est là ce qu'ils disent de mieux au sujet du Christ », car j'en ai entendu certains dire que si le Christ revenait aujourd'hui sur la terre, il aurait honte de ce qu'il fit autrefois ; j'en ai entendu un affirmer que l'on pouvait se demander si le Christ était né d'une vierge, Toulouse idées qui s'échangeaient au sein des groupes les plus radicaux, et nous fait du même coup apercevoir ce que pouvait avoir d'arbitraire et de réductif leur catégorisation comme « Ranters, p.27, 2015.

, évidemment reconstruits et sujets à caution, apparaissent cependant tout à fait probables, jusque dans la conjonction de propos spiritualistes de type panthéiste et égalitariste (chaque homme est ni plus ni moins divin que le Christ) et de sarcasmes naturalistes sur la prétendue vierge de Jérusalem, son cocu de mari et son « bâtard, Ces fragments d'échanges oraux

, ou prétendus tels) que pour insister sur la contamination générale du blasphème dans tous les propos et les actes des Ranters. C'est tout particulièrement le cas des assemblées-orgies qu'ils sont censés organiser où boisson, prise de tabac, danse, chants, musique, gestes érotiques et relations sexuelles deviennent autant de blasphèmes, dès lors qu'il est conféré à tous ces actes et aux paroles-dont de multiples jurons-qui les accompagnent, une forme rituelle et un sens éminemment religieux, voire mystique, au sens où les Ranters prétendent, Les Happenings blasphématoires des Ranters Les pamphlets à sensation n'évoquent le blasphème d'opinion, les éléments de doctrine

, Il relate le procès, auquel l'auteur affirme avoir assisté, de deux Ranters, et qui furent condamnés à l'amende et à six mois de prison pour « des mots et actions si méchants et blasphématoires que rien de tel ne, vol.29

«. Irreligious-religions, ». , and J. Taylor, Ranters of both sexes?, p.1651

, that our Ever blessed Saviour, was a Bastard, and an Impostor and deceiver of the Christians, as Moses was of the Jews, and Mahumet of the Heathens », Londres, 2 août 1654, Voir aussi The Ranters Last Sermon : « They taught, p.4, 1999.

P. Sans-doute and . Chamberlain,

J. Holland, The Smoke of the bottomlesse pit, p.3

, Il y aurait une étude à faire sur l'affirmation de la batardise du Christ, motif de la littérature juive antichrétienne que l'on retrouve ensuite chez les radicaux et libertins des XVI e et XVII e siècles

, L'arrestation et le lieu sont avérés ; la taverne en question était propriété du mari de l'une des maîtresses de Clarkson, p.160, 1973.

«. Démesure, Toulouse auparavant en aucun tribunal » 30. L'auteur s'excuse d'ailleurs de ne pouvoir rapporter tous les propos qui furent entendus « sous serment pour l'établissement de la vérité ». Il énumère cependant les faits suivants, que les témoins auraient prouvé, illustrés par des vignettes salaces 31 : Que ce Collins, ce Reeves et d'autres étaient assis à table, mangeant une pièce de boeuf, que l'un des deux prit dans sa main, 2e Congrès international de l'AFEA, 2015.

L. Prit-une-coupe-de-bière and D. La-jeta-dans-la-cheminée, Qu'il pouvait aller aux toilettes et faire un Dieu chaque matin", en déchargeant son ventre, et expirant deux bouffées de pipe à tabac, il dit que "C'était le souffle de Dieu, Furent aussi prouvés bien d'autres paroles blasphématoires et comportements incivils, vol.33

, « Such wicked blasphemous words and actions, that the like was never heard before any Bench », Strange Newes from the Old-Bayly, 21 janvier 1651, p.185, 2002.

, une gravure sur bois se trouvant sur la première page du pamphlet intitulé The Ranters Rantings (2 décembre 1650), puis traités à nouveau en trois autres pamphlets avec, à chaque fois, des textes différents dans les phylactères : 1-The Ranters Declaration (Londres, 17 December 1650), qui se référait à une autre rencontre présumée s'étant tenue le 9 décembre de la même année, toujours à Londres, « near the White Lion in Pelicat Lane » ; 2-The Declaration of John Robins, Nick Poyntz a noté que les quatre dessins censés représenter les turpitudes des Ranters sont issus du découpage d, 1651.

, où sont associées opinions et pratiques « ranters », dont il cite la liste dans un texte de défense : « Those gross Opinions and Practises charged against me, viz. That Christ is a Beast ; that his flesh rotted in the grave ; that I deny his God head and perfection of his Nature ; that I declaim against the Ordinaces of the Gospel, enervate the Authority of Scripture, inveigh against Communion of Saint, jearing and deriding the same, that I accursedly blaspheme the Spirit of Grace in the hearts of the Faithful, that I subtilly instill Principles of Heathenism and Atheism, that I cry up the profane people as most holy, and the Saints of God to be the onely Ranters ; that in scorn of the Gospel, and hardening of the Ignorant from entertaining thereof, I hold fellowship with divers prodigiously pronafe and scandalous callings themselves a Church with their several Officers, blasphemously counterfeiting the Sacrament of the Lords Supper, etc. », An Answer to the Articles and Charge, exhibited against Mr William Erbery, Ces accusations de pratiques parodiques de l'eucharistie mériteraient une étude spécifique. Le Seeker William Erbury, proche des Ranters, en fut accusé au moins de mars 1652, ainsi que de toute une série de déviances blasphématoires, pp.313-338, 1652.

, Strange Newes, op. cit, pp.2-3

, The Ranters Religion rapporte l'anecdote de la pièce de boeuf ainsi que celle, citée ci-dessous

, The Routing of the Ranters reprend le déroulement de la soirée, avec l'épisode de l'accueil, les chants obscènes et le baiser sur les fesses : « one of them lets fall his breeches, and turning his shirt aside, another of the company runs and kisses, saying, they must all do the like, The Arraignement and Tryall with a Declaration of the Ranters (Londres, 1650) rapporte la première : «, p.3

J. Reading, The Ranters Ranting, p.1650

D. Voir and . Cressy, Though Ranters may have behaved like this, especially in their cups, the scene may also be construed as a dramatization of the insults 'kiss my ass', 'a turd in your teeth', or the obscene anal kiss of the Devil, David Cressy, Travesties and Transgressions in Tudor and Stuart England: Tales of Discord and Dissension, p.273, 2000.

«. Démesure, 2e Congrès international de l'AFEA, 2015.

. Dieu, Pourtant lui-même en connaissait les clés, qui remarquait un peu plus haut que ces hommes se prétendant « au-dessus des lois et des commandements » affirment qu'ils « sont au ciel et que le ciel est en eux ; mais que ceux qui ne peuvent voir et croire ces choses sont en enfer, et l'enfer en eux » 42. Le fait de se prétendre à la fois au ciel et en enfer renvoyait sans aucun doute au perfectisme spirituel qui réduit l'existence du mal et du péché à la seule imagination que s'en fait présentée comme « très horrible et blasphématoire » : à la fin de sa lettre, après avoir fait entre autres choses état de la répression qui s'abat sur les Ranters (les cas de Coppe et de Bauthumley sont évoqués), Salmon, alors lui aussi incarcéré, écrit cette formule de congé et de bonne augure à son ami et à ses relatifs : « Que des pestes éternelles vous consument tous, cuisent, plongent et damnent vos corps et vos âmes dans le feu dévorant, où personne, sinon ceux qui marchent droit, ne peut entrer. Ami, je te souhaite un bien damnable, parce que je t'aime chèrement, que le Seigneur fasse que nous puissions connaître la valeur de l'enfer, tellement que nous puissions éternellement nous moquer du ciel » 44. Il s'agit clairement d'une pratique ironique de l'inversion systématique des formules de propriation et de bénédiction courantes, par substitution de l'enfer au ciel, suggérant un renversement des jugements moraux usuels et impliquant, là aussi

, « l'effrayante exécration » dit The Routing of the Ranters, « Ram me, Dam me », littéralement « Enfonce-moi, damne-moi » 46. « God damm me » (Dieu me damne), était une formule de jurement des plus communes à l'époque (tant il est vrai que les royalistes étaient nommés « Dammees » par les républicains du fait de leur propension à l'utiliser) 47. Le même pamphlet précise que des Ranters ayant été arrêtés, on leur demanda ce que voulaient dire « the fearful execrations of Ram me, Dam me, etc » ; l'un d'entre eux déclara que « par le mot de Ram ils veulent dire Dieu » 48 , ce qui est assez étonnant (le nom Ram signifiant aussi le bouc et un homme sexuellement actif, On ne peut enfin passer sous silence la formule présentée par plusieurs comme le slogan ranter par excellence et que l'on retrouve avec des variantes en plusieurs textes de Ranters et d'autres spirituels radicaux

, « They teach that there is neither heaven nor hell but what is in man, and that those men that do see God to be in all things, and his will to be done by all men, though they do never so wickedly, and not apprehend any wrath to be in God, and can quietly without any check of Conscience commit any sin as we call it, and can see themselves to be above all Ordinances, and all Commands, and that these men are in heaven, and heaven is in them; but those men that cannot see and beleeve these things are in hell, and hell in them, p.6

. Voir-par-exemple-clarkson, Le péché « est seulement un nom sans substance, il n'a pas d'être en Dieu, ni dans la créature, mais seulement par l'imagination », A single Eye, pp.169-170, 1983.

, The Wiltshire rant; or A narrative wherein the most unparallel'd prophane actings, counterfeit repentings, and evil speakings of Thomas Webbe late pretended minister of Langley Buriall, are discovered, p.13, 0201.

A. Laurence, Nous devons ce rapprochement entre ces deux textes à A. Hessayon, p.363, 1980.

, Routing of the Ranters, p.165, 2002.

, Voir sur ce point A. Hessayon, « The making? », art. cit. p. 56. La formule n'était certes pas nouvelle dans la bouche de soudards britanniques s'il est vrai qu'elle est à l'origine du nom de « godons, « ? afterwards they called them Dammes, because « God damn me, p.36, 1974.

, Routing of the Ranters, op. cit, p.165, 2002.

«. , so doth the fountain of light convert sin, hell and devil into its own nature and light as itself; I will make rough waies smooth. Now it is damm'd and ramm'd into its only Center, there to dwell eternal in the bosom of its only Father : This, and only this, is the damnation so much terrifying the Creature in its dark apprehension?, p.172, 1983.

«. Was, rammed and sunke into nothing, into the bowels of the still Eternity (my mother wombe) », Coppe, A Fiery Flying Roll, in Smith (1983: 82), 1957.

A. Collier, 140) qui suggère que « ram » possède une connotation sexuelle, 2001.

, ) publie le texte (Fear, myth and history. Historians and the Ranters), nous sommes obligés de renvoyer à l'original, car une grave erreur de mise en page a bouleversé l, pp.138-155, 2002.

, Voir la réfutation de A Justification dans le pamphlet anonyme The Ranters Reasons resolved to nothing or, the fustification instead of the justification of the Mad Crew, Voir Thomas N. Corns (1992 : 177) et la mise au point de Ute Dreher, p.1651, 2000.

, Cette signature ne veut pas dire que l'auteur se présente comme un nouveau messie, mais plutôt que tout fils de l'homme, comme Jésus

«. Démesure, Toulouse la bassesse et de la réprobation, à travers l'exaltation provocatrice et sacrilège des figures de la prostituée, du souteneur, du buveur et bien sûr du jureur. D'un côté un Dieu putain et maquereau, d'un autre des enfants de Dieu jouissant de l'infinie liberté morale de Dieu, forniquant, buvant, mangeant, jurant, blasphémant divinement ; l'exercice de ces choses réprouvées s'imposant comme le moyen court et privilégié de jouir de l'unité, 2e Congrès international de l'AFEA, 2015.

, La très intéressante position de l'auteur consiste à ne pas opposer, comme Coppe, les purs aux autres enfants de Dieu qui pratiquent ce que l'on appelle des péchés, ceux qui pèchent dans l'ignorance et la plus grande spontanéité et ceux qui pèchent dans la conscience

, il s'agit en fait là de deux modalités de la relation de l'homme à Dieu (et réciproquement) qui ne s'excluent en rien. Il ne rejette donc pas ceux qui pèchent avec mauvaise conscience, en croyant savoir que le mal et le bien s'opposent irrémédiablement

, et les conduit à une vie d'ivrognerie, de putasserie, de malédiction, de jurement, de damnation, de sorte qu'il n'y a pour ces hommes qu'un seul Dieu, en eux, sans eux, tout autour d'eux [?] le jureur sert Dieu, le pauvre ignorant, d'ivrogne invétéré et athée sert Dieu, bien qu'il ne le connaisse pas, le voleur, le souteneur sert Dieu, mais le sert avec ignorance, comme Paul le dit

. Il-en-est-d&apos;autres, qui servent Dieu en fait de la même façon en ces choses que sont ivrognerie, jurons, mensonges, putasserie, et cependant consciemment dans la lumière, dans la vérité, certains qui font ces choses, pourtant ne font pas mal, agissant en cela de la plus sainte façon qui soit, jurant saintement et buvant saintement, fréquentant saintement le bordel ; tout ce qu'ils font est saint, juste et bon, et ils rencontrent le Seigneur en ces choses

C. Enfin and «. Qui-le, Church societies) ; dans toutes ces Prostitutions et Idolatries, il est honoré et obéi, mais avec ignorance et dans l'obscurité » 57. De sorte que Dieu est loué par tous les hommes et par toute la création (« les bêtes des champs, les poissons de la mer, les oiseaux? »), mais on voit comment tous ceux qui sont engagés dans les Églises sont ici injuriés, alors que sont exaltés les réprouvés, servent par des prières, des prêches, sans sainteté, mendiantes, maudites, et dans des congrégations religieuses

, leur témérité en sont la preuve, et c'est cette transformation proprement divine qui opère, en eux et dans le monde, ce qu'on pourrait appeler en termes nietzschéens une transmutation de toutes les valeurs, hier encore inouïe, mais aujourd'hui déjà en voie d'accomplissement, qui leur permet de parier sur l'acceptabilité de leurs discours et de leurs actions, pour excessifs qu'ils puissent aujourd'hui paraître. Ils le font en quelque sorte par anticipation, ou dans le geste de faire advenir par les actes et la parole le monde nouveau du nivellement universel, sachant que leurs actes et leurs paroles sont ceux de Dieu en eux. Et Dieu est évidemment un agent formidable de renversement, de nivellement, de transformation et transmutation du monde : qui mieux que lui pourrait-il en effet rendre l'inacceptable acceptable

. Actes, Version King James : « Whom therefore ye ignorantly worship, him declare I unto you ». 55 A Justification, vol.17, pp.5-6

, A Justification, p. 8. 57 ibid, p.7

«. Démesure, 2e Congrès international de l'AFEA, 2015.

A. P. Bibliographie, Il Dio dei blasfemi : Anarchici e libertini nella rivoluzione inglese, 1993.

B. F. , Politici e ateisti. Percorsi della miscredenza a Venezia fra Sei e Settecento, 2006.

B. F. , Puritans and Puritanism in Europe and America. A comprehensive Encyclopaedia, ABC-CLIO, vol.1, p.422, 2006.

C. , Libertine and libertinism: Polemic Uses of the Terms in Sixteenth-and Seventeenth-Century English and Scottish Literature », vol.12, pp.12-36, 2012.

C. , en introduction de son édition de : Le Traité des trois imposteurs et L'Esprit de Spinoza. Philosophie clandestine entre 1678 et 1768, 1999.

C. N. , The Pursuit of the Millennium, 1957.

D. J. , Fear, Myth and History: The Ranters and the Historians, 2002.

C. A. , Christianity and Marxism: A Philosophical Contribution to Their Reconciliation, 2001.

C. T. , Uncloistered Virtue: English Political Literature 1640-1660, 1992.

D. and U. , A case study of Lawrence Clarkson, pp.1615-1667, 2000.

G. and C. , The Oxford Handbook of Literature and the English Revolution, Le fromage et les vers. L'univers d'un meunier du XVI e siècle, pp.346-74, 1980.

H. C. , The World turned upside down : radical ideas during the English revolution, Le Monde à l'envers, les idées radicales au cours de la Révolution anglaise, 1973.

L. A. , Recycled woodcuts, vol.31, pp.56-59, 1980.

S. N. , A Collection of Ranter Writings, 1983.

T. K. , Puritans and Revolutionaries. Essays in Seventeenth-Century History presented to Christopher Hill, The Puritans and Adultery: the Act of 1650 Reconsidered, pp.257-282, 1978.

W. D. , The Decline of Hell, Seventeenth Century Discussions of Eternel Torment, 1964.