, si nous n'avions pas joué de la musique avec les patients, si nous n'avions pas participé entièrement à la construction d'une relation thérapeutique, voire à un « accordage empathique » 5 , l'impact des ateliers au niveau corporel, affectif, créatif, social, communicationnel? démontré dans nos premières publications, aurait-il été le même ? Aurait-il pu exister ? Malgré une sensation d'évidence qui pourra apparaître à la lecture de ces lignes, le parti pris pour cette recherche n'est pas celui de tout le monde dans le domaine de la Psychologie et/ ou de la Psychopathologie, fine, l'ouverture (à de nouvelles approches, de nouveaux médiums artistiques

A. A. Bibliographie-de-référence-abbass and J. P. Assoun, Intensive short-term dynamic psychotherapy of treatment-resistant depression: a pilot study, Depress Anxiety, vol.23, issue.7, pp.170-177, 1996.

V. Bréjard, A. Bonnet, J. L. Pedinielli, L. Abbadie-de-nodrest, J. L. Sudres et al., Jouer son blues quand la dépression résiste? : évaluation de l'efficacité d'un programme de musicothérapie pour des personnes présentant un trouble dépressif et/ ou bipolaire résistants, La musicothérapie : Une synthèse d'introduction et de référence pour découvrir les vertus thérapeutiques de la musique, vol.166, pp.470-480, 2008.

J. Lee, B. A. Thyer, D. Lysek, D. Gariglio, M. Perlis et al., When accounting for wakefulness, completed suicides exhibit an increased likelihood during circadian night (Oral presentation), Does music therapy improve mental health in adults? A review. Journal of Human Behavior In The Social Environment, vol.23, pp.153-163, 2001.