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B. A. Marshall and «. Q. Curius, AC, vol.47, pp.207-209, 1978.

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R. Y. Tyrell, L. C. Purser-;-d.r.-shackleton, and . Bailey, Cicero's letters to Atticus, 1, Cambridge classical texts and commentaries, Cambridge, 1965 (abrégé désormais selon l'usage en CLA) et M. Tulli Ciceronis epistulae ad Atticum, Pour les lettres à Atticus, nous avons consulté les éditions suivantes, 1934.

L. D. Reynolds, Texts and Transmission. A Survey of the Latin Classics, pp.135-137, 1983.

, The Roman Censors : a study on a social structure, et J. Suolahti, vol.2, pp.457-464, 1952.

, et J. Suolahti, op. cit, vol.2, pp.464-475, 1963.

, une spes legitima senatoriae dignitatis in proxima senatus lectione obtinendae. 17. Il est douteux qu'un membre de la conjuration de Catilina, en 63, ait pu être suffisamment actif politiquement et âgé pour être recruté au Sénat à la fin des années 80. Curius était du même âge ou légèrement plus vieux que Catilina qui commença sa carrière comme légat de Sylla en 82 (MRR, 2, p. 72). Ainsi, il n'apparaît pas dans la liste des sénateurs syllaniens, vol.29, pp.267-270, 1951.

, Sur la date de la censure et sa questure : P. Willems, op. cit., 1878, p. 418 ; F. Münzer, loc, p.122

B. A. Marshall, art. cité, p.488, 1978.

K. Elvers, loc. cit. 19. P. Willems, op. cit., 1878, pp.670-673

L. Lange, sont les pères fondateurs de la théorie du ius sententiae dicendae (droit de donner son avis au Sénat). F.X. Ryan, Rank and Participation in the Republican Senate, et T. Mommsen, Le Droit public romain, vol.7, p.391, 1891.

Q. Cic, 10 cité ci-dessus. 64. Quint., inst. 6, 3, 72 cité plus haut

Q. Cic, 10 : qui ex curia Curios et Annios

J. Linderski, , 1963.

C. Nicolet, conclut que la liste donnée par Q. Cicéron ne soulève aucune difficulté quant aux rangs des individus mentionnés, pp.259-260, 1972.

. Sall and . Catil, En outre rien ne prouve que les prodiges et rumeurs qui circulaient alors (Sall., Catil. 30, 2) fussent le fait de sénateurs comme l'affirme F.X. Ryan. 73. Sall., Catil, vol.30

C. De, J. David, ». La-faute, A. Dans-l'aveu, and . Et-moyen-Âge, pour montrer que les indices étaient des gens de faible statut pour qui la fides publica était une garantie essentielle visant à remplacer les relations de protection qu'ils pouvaient trahir et les praemia une nécessité pour leur garantir une nouvelle vie, p.85, 1986.

. Sall and . Catil, Curius, de quo paulo ante memoraui, consilia Catilinae sibi proderet (« Dès son entrée en charge, à force de promesses il [Cicéron] avait obtenu par l'entremise de Fulvie que Curius, dont j'ai parlé plus haut, lui livrât les plans de Catilina, 81. Sall., Catil, vol.26, pp.11-14

, Or, si Curius était bien un prétorien comme nous le supposons, la potestas de César, tout comme son auctoritas, étaient insuffisantes pour lui infliger un tel châtiment puisqu'il était préteur en charge 91, de payer les informations 90

, Au contraire, l'épisode relaté par Suétone nous semble un nouvel indice en faveur de son rang sénatorial et même prétorien en 63-62. La privation des praemia ne dut pas remettre en cause l'éventuelle immunité accordée à Curius 92 puisque les praemia sont en général distingués de l'immunitas ou de la fides publica dans nos sources 93 . Donc soit Curius n'eut jamais besoin de l'immunitas

, En outre, comme le procès date au plus tôt de 64, c'est-à-dire après l'échec de Curius au consulat, celui-ci, ayant épuisé ses ressources, ne représentait plus un danger pour personne. Pour ces raisons, nous préférons suivre la deuxième solution qui permet d'expliquer l'absence de Curius dans les années qui suivent la conjuration. Q. Curius voulut sans doute mettre à profit sa participation à l'écrasement de la conjuration pour relancer sa carrière et redorer son blason. Cependant, l'épisode des praemia réactiva la mauvaise réputation dont il souffrait et le fragilisa suffisamment pour qu'il pût être condamné peu après. Il est d'ailleurs intéressant de constater que Curius n'apparaît jamais dans les discours publiés de Cicéron, les Catilinaires, peut-90, De ce fait la condamnation mentionnée par Asconius ne doit pas porter sur un crime lié à la conjuration, mais sur un autre délit qui lui fut reproché postea, après le discours de Cicéron In toga candida de 64 94, vol.46, p.317, 1978.

M. C. Alexander, Trials in the late Roman Republic, 149 BC to 50 BC, vol.218, p.109, 1990.

R. G. Lewis, 526 s'appuyant sur l'immunité accordée à Curius comme délateur propose comme dates pour le procès soit 64 si la condamnation n'impliquait pas l'exil, E.S. Gruen, op. cit, p.303, 1974.

P. Tome, , vol.87

J. Racine-verbale-*d-h-eh-1--«-verbe and . Support, de l'indo-européen aux prolongements latins

B. Clément and . Cic, Att. 1, 1, 2, Ascon., p. 93 Cl. et la carrière de Q. Curius, p.37

, Régis CARUSO Datation d'un recueil de figures hermogéniennes

F. Lorenzo, Pour une nouvelle édition du Traité 30 (III.8) de Plotin, « Sur la contemplation, Lecture du chap, vol.5, pp.1-17

.. .. Thibaud-lanfranchi-le-premier-collège-tribunicien-dans-les-manuscrits-de-denys-d'halicarnasse,

. Giampiero-scafoglio-discordia-taetra-(verg and . Aen, 323-622)

. Note-de-lecture,

. Chronique-d'étymologie and .. .. Grecque,

. Bulletin and . .. Bibliographique,

. .. Ouvrages-reçus,

. .. Résumés-/-abstracts,