, , pp.129-132, 1984.
De l'influence de la fréquence itérative sur l'accroissement de la profondeur de la perspective, p.1294, 2000. ,
Argol et le bricolage intertextuel, vol.4, pp.199-219, 1992. ,
Accueil de la critique, OEC, vol.II, pp.1297-1312 ,
, voir OEC, vol.II, pp.1282-1289
,
, Sur l'italique, voir Elisabeth CARDONNE-ARLYCK pp, pp.172-187
Je signale au passage que l'édition Pléiade guillemette des paroles et pensées apparaissant sans aucun marquarge énonciatif dans l'édition Corti, ce qui produit une normalisation typographique dommageable que j'ai déjà pointée dans son édition des oeuvres d'Albert Cohen. Voir Jérôme CABOT, Des couacs sur papier bible. Italiques et guillemets dans l'édition Pléiade des romans d'Albert Cohen, vol.15, pp.175-183, 1993. ,
La Manufacture, « Qui êtes-vous ?, p.42, 1986. ,
Dictionnaire du français non conventionnel, vol.28, p.234, 1980. ,
« Que sais-je ?, p.35, 1992. ,
, On peut parler ici d'exophore mémorielle, que Fraser et Joly définissent comme une expression qui « fait référence à un objet extradiscursif, p.1320
, « La particule invite l'interprète à se construire une image de ce dont on parle, et à recourir si besoin, pour cela, aux représentations qui lui sont propres. » Catherine CHANET, "1700 occurrences de la particule quoi en français parlé contemporain, Marges linguistiques, n°2, p.72, 2001.
évalue la représentation que son discours est en train de construire, et se demande, en quelque sorte, si les informations qu'il donne sont suffisantes pour permettre à l'allocutaire de reconstruire cette représentation ; le fait que le locuteur invite son allocutaire à convoquer des connaissances stéréotypiques (non fournies par le discours) pour reconstruire cette représentation, pp.74-90 ,
Le guetteur en posture d'éveil, vol.20, p.322, 1972. ,
,
Il est donc nettement plus rigoureux de parler de « récit attributif », puisque cela désigne un fragment de récit qui attribue tel discours à un personnage, pp.16-17, 2001. ,
, , pp.66-75