Résumé : La poésie libertine du XVIIe siècle accorde une large place à la célébration de la vigne et du vin à travers le Dieu qui leur a donné naissance : Bacchus. À l’aide d’extrait de quelques-unes des pièces produites par ces « moucherons de taverne », dont certains ont laissé un grand nom dans la littérature de leur temps, cette communication s’attache à montrer qu’en exaltant Bacchus c’est un art de vivre subversif, parce que détaché des contraintes morales et religieuses du commun, qu’ont prôné les poètes libertins.