J. Dubuffet, L. 'homme-du-commun-À-l'ouvrage, and G. Paris, , pp.416-417, 1973.

. Teshigahara-précise-que-le-sable-constitue-le-«-troisième-personnage-»-du and . Film, Il s'agissait de « composer ces trois éléments [les deux personnages et le sable] de façon à nous exprimer physiquement, psychologiquement et matériellement. Les mouvements matériels du sable constituent (?) un des éléments essentiels de notre film » (Lettres françaises, vol.30, 1964.

, Deleuze et Guattari analysent avec précision les dynamiques de déterritorialisation et de reterritorialisation qui alimentent le rapport que le nomade entretient avec le site : « le nomade habite ces lieux, il reste dans ces lieux, et les fait luimême croître au sens où l'on constate que le nomade fait le désert non moins qu'il est fait par lui. Il est vecteur de déterritorialisation. Il ajoute le désert au désert, la steppe à la steppe, par une série d'opérations locales dont l'orientation et la direction ne cessent de varier » (Gilles Deleuze, Félix Guattari, Mille plateaux, Ces termes caractérisent l'activité du nomade, sa capacité à prendre lieu et à faire lieu en même temps, pp.473-474

, Le piège à Jaunes, 1964.

J. , Enfin, collé à la peau, il ressemble à s'y méprendre à l'eau ou à la sueur (?). La Femme du sable est un film terriblement poisseux et humide, Narboni évoque en 1965 la connotation liquide du sable dans ce film : « il ruisselle à la façon de nappes liquidiennes (?), vol.163, p.85, 1965.