, Autour de l'étang de Montady. Espace, environnement et mise en valeur du milieu humide en Languedoc, des oppida à nos jours, Projet Collectif de Recherche, 2005.

M. Clavel-lévêque, N. Evelpidou, G. Tirologos, and A. , Vassilopoulos : Occupation du sol et analyse spatiale en Biterrois méridional : le développement du SIG BITERSIG, DHA, pp.218-222

N. Evelpidou, Giry : Le Biterrois? son passé, Lacour Editions, 1998. J. Giry : Le Biterrois Narbonnais, Esmeralda Editions, Analyse spatiale, méthodologie et modélisation : géomorphologie et géoarchéologie du sud Biterrois, 2001.

J. Giry, ;. , S. J. Giry-;-déposé-au, S. J. Giry-;-déposé-au, and S. J. Giry, Cahier III (1950 -1959), 1959.

J. Giry, Cahier VII (1974 à nos jours)

L. Roy and E. Dellong, L'occupation du sol autour de l'étang de Montady, du Premier Âge du Fer au Moyen Âge : une première synthèse des prospections du PCR « Autour de l'étang de Montady » in Ropiot V. (dir), Les plaines littorales en Méditerranée nord-occidentale. Regards croisés d'histoire, d'archéologie et de géographie de la Protohistoire au Moyen Age (16 et 17 Novembre, 2007.

D. Orliac, Prospections pour l'étude d'impact du TGV Méditerranée sur la commune de Nissanlez-Ensérune, 1994.

N. De and . Archeologique,

. «-ensérune-sud, de la commune de Poilhes ? Localisation géographique -Coordonnées Lambert du centroïde : (x :663 445; y :112 060) -Altitude moyenne : 38 m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : C 352 -Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection, vol.3, p.357

, Il occupe le bas du versant sud de la colline d'Ensérune. Les terrains sont de nature argilo-limoneuse et sont couverts de vignes, Historique des recherches

. Le, On note toutefois un signalement assez proche répertorié sur la commune de Poilhes, rattaché à la préhistoire récente, apparaissant uniquement sur le plan communal (Giry, p.254, 2001.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre de la prospection systématique sur le versant sud d'Ensérune, en novembre, 2009.

, Les parcelles C 352 et C 357 offraient une lisibilité mauvaise à bonne (vignes sur fil à fort couvert végétal localisé)

, Le site a fait l'objet d'un zonage, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, La superficie du site est difficile à estimer, celle-ci couvre quelques centaines de mètres carrés tout au plus. Le gisement est caractérisé par une faible concentration de céramiques non-tournées à gros dégraissant

N. De and . Archeologique,

, « Bel Air, vol.2

. Inédit-?-localisation-géographique--coordonnées-lambert-du-centroïde, 659 255 ; y : 109 500) -Altitude moyenne : 12 m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : G4 1110 de Nissan-lez-Ensérune. Il occupe la pente est de l'éminence de Bel Air, qui marque l'entrée vers l'étang de Capestang, situé à quelques centaines de mètres à l'Ouest. Les terrains sont de nature sablo

, Historique des recherches Le site est inédit. ? Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des recherches sur les signalements de l'abbé Giry, en mai, 2009.

, La parcelle G4 1110 offrait une lisibilité moyenne à bonne (vigne sur fil)

, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. de céramiques non-tournées et de silex suggèrent la présence d'une occupation, datée, en l'absence d'élément remarquable, Le gisement a fait l'objet d'un test de ramassage et d'un simple zonage

, (x : 663 045 ; y :112 185) -Altitude moyenne : 54m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : C 63, C 64 -Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection : ? Environnement Le site se place au nord de la commune de Nissan-lez-Ensérune, à 350m environ au sud du sommet d'Ensérune et du coeur de l'oppidum. Il occupe le versant de la colline, au pied d'un promontoire et à quelques dizaines de mètres à l'est d'un puissant fossé (appelé Ravin), faisant office de limite communale avec Poilhes

. Le, S. Giry, and . Le-nom-ensérune-sud, Parmi les nombreuses observations rapportées à cette dénomination, beaucoup concernent en fait des découvertes dispersées sur l'ensemble du tènement qui couvre tout le versant sud de la colline d'Ensérune : découvertes de monnaies, de tuiles marquées, de fonds de cabanes, tombes, structures en creux, etc. mais, elles ne semblent pas être en relation avec le site que nous traitons ici, p.57

C. Giry and I. ,

C. Giry and V. I. , , p.107

C. Giry and I. , , p.61

I. Cahier, Seule une mention évoque la découverte, rapportée par M. Pradère ( ?) après un défoncement en 1982, d'un dépotoir contenant des os d'animaux et des coquillages, de dolia à dégraissant de coquillage et d'amphores républicaines. Du mobilier issu du site a été déposé au musée d'Ensérune (sous le nom de la parcelle Ensérune 63). Toutefois, après examen, il semblerait que ce matériel provienne d'un autre site situé sur le versant d'Ensérune, p.215, 2001.

, La localisation précise du site nous a été transmise par D. Orliac lors d'un entretien oral. Ce dernier a également réalisé des ramassages déposés au musée d'Ensérune, et sont intégrés dans cette notice

L. Mobilier-déposé-par and D. Orliac-au-musée,

, Il atteste une occupation des IIe et Ier siècles av. J.-C. (amphore italique, greco-italique, campanienne, sombrero de copa

D. D'après-le-plan-fourni-par and . Orliac, la superficie de cet établissement rural, en liaison probable avec l'oppidum

. Greco-italique, amphore italique (Dr. 1a, 1b), amph. de Bétique, Camp. A (Lamb. 27, 33b, 34a, Camp. C, Paroi-Fine, Ibér. Peinte (sombr. de Copa), Côte Catalane, Sabl. Red, Cer. non tournée, Claire Rec

». «-la-mouline and . N°-pcr, n° 24 Giry de la commune de Nissan-lez-Ensérune ? Localisation géographique -Coordonnées Lambert du centroïde : (x : 662 980 ; y :110 890) -Altitude moyenne : 12m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : D 433 -Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection : ? Environnement Le site se place au nord-ouest du village de Nissan-lez-Ensérune, à 200m à l'ouest des bâtiments de La Mouline. Il occupe une zone de plaine, à proximité du chemin actuel reliant Nissan-lez-Ensérune à Poilhes, Les parcelles sont actuellement occupées par des friches denses et illisibles. ? Historique des recherches

, Il signale la présence d'une citerne, de dolia (à dégraissant de pouzzolane) et d'une amphore punique. Il rapporte également la découverte d'un denier d'époque Républicaine et d'un Moyen Bronze de Nîmes, p.214, 2001.

D. Le-site-est-ré-observé-par, Orliac dans le cadre d'un inventaire des sites répertoriés par J. Giry pour la ligne TGV Montpellier-Barcelone. La zone de diffusion de mobilier occupe 1500m² avec notamment tegulae et dolium. Il récolte un lot d'une centaine de céramique comprenant amphore, céramique commune tournée, sigillée sud gauloise (marque SILV..), et sigillée claire, 1994.

, ? Compléments d'informations

L. Mobilier-déposé-par, J. Giry, and D. Orliac-au-musée,

, amphore italique, campanienne A), se poursuivant dans le haut Empire (amph. de Tarraconaise, sigillée sud gauloise, B-O-B, etc?

, Ces résultats permettent d'interpréter le site comme une villa, dont la superficie est estimée à 1500m² environ. ¤ récapitulatif mobilier étudié J. Giry : amph. de Bétique (Dr.7/11), amph. de Tarraconaise, amph. gauloise (G4), camp. A (Lamb. 5), sig. italique (Halt. 15), sig. sud gauloise (Drag, Sabl-red, Claire Rec, Cer. non tournée, Bouchon, dolium (pouzzolane), enduit (rouge et multicolore), marbre, vol.27, pp.24-25

D. Orliac, 7-11), amph. de Tarraconaise, amph. gauloise, amph. africaine, amph. indet, sig. sud gauloise (Drag, Afr. de Cuisine, Paroi Fine, Sabl-ox, vol.29

». «-le-poujolas and . N°-pcr,

, ? Localisation géographique -Coordonnées Lambert du centroïde : (x : 662 390 ; y :111 040) -Altitude moyenne : entre 4 et 7m -Parcelle(s) concernée(s) par le site

, ? Historique des recherches

L. Le-site-est-connu-de-l'abbé-giry-sous-le-nom, L. Pechet, and . Poujolas, Il signale la présence de tegulae, dolium, amphores Graufesenque ainsi que des traces d'un four en direction du Sud-Est. Il interprète le site comme une villa romaine, vol.II, p.259, 2001.

D. Le-site-est-ré-observé-par, Orliac suite à des défoncements durant l'hiver 1989-1990. Il récolte sur une zone de 40m sur 20m, un lot de céramique comprenant sigillée italique et sud gauloise (marque SILV..), céramiques communes ainsi qu'un petit objet en bronze (applique ou préhension). Il interprète le site comme un établissement du Ier s. ap, 1990.

, ? Compléments d'informations

L. Mobilier-déposé-par and D. Orliac-au-musée,

, Il atteste une occupation débutant à la fin du Ier s. av. J.-C. (sigillée italique, commune italique) et se poursuivant jusqu'au haut Empire (amph. de Tarraconaise, sigillée sud gauloise, B-O-B, etc?)

, Les résultats de la prospection de D. Orliac permettent d'interpréter le site comme un petit établissement rural, dont la superficie est estimée à 1000m² environ

B. Claire and ;. Luis,

B. ,

. Com, italique : 1pa ; Kaole

, Claire Rec. ; Sabl-Ox

. Sabl-red,

. Notice, . De, and . Archeologique,

. «-régimont-2-»-n°-pcr,

, (x : 662 030 ; y :112 170) -Altitude moyenne : entre 45m et 55m d'altitude -Parcelle(s) concernée(s) par le site : A2 264, A2 16 ?A2 263 ? -Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection, pp.2-19

, Il occupe le pied de pente d'un éperon qui constitue une avancée de la colline d'Ensérune vers le sud. Le site est ainsi dominé par deux autres sites installés à proximité, sur le flanc et au sommet de l'éperon : la chapelle dite « Ste Agnès -Ste Eulalie

, Par ailleurs, le site se trouve à une centaine de mètres au nord-est de l'actuel domaine de Régimont. Les terrains sont actuellement couverts de champs à lisibilité très mauvaise ou de pinèdes, Historique des recherches, vol.2

D. Orliac, Tout en restant prudent sur l'origine du matériel, celui-ci pouvant provenir par colluvionnement du site POI-RGM-001 (Chapelle Ste Agnès, Ste Eulalie) situé plus en hauteur, il émet l'hypothèse de la présence d'un site, qu'il date du Ve. Au cours d'un entretien oral avec P.-Y. Gentil, D. Orliac confirme la présence d'un site sur la zone, 1989.

, ? Compléments d'informations

L. Mobilier-déposé-par and D. Orliac-au-musée,

. Amphore-africaine, B. Claire, C. D. Luis, D. Pabiran, and ). , se poursuivant durant le haut Moyen Age (formes CATHMA 6, 7) et peut-être le Moyen-Age central. Par ailleurs, après un entretien oral avec F. Bon et E. Bouscaras, des travaux réalisés par EDF (sondages ponctuels) sur la parcelle A2 264 ont révélé la présence de bâti en dur (mur en pierre liés au mortier avec de nombreuses céramiques et tegulae). Ces observations attestent définitivement la présence d'un établissement, Celui-ci suggère une occupation effective dès le Ve siècle

, situé quelques dizaines de mètres plus au nord (même période de fondation)

, ¤ récapitulatif mobilier étudié Parcelle A2 264 et A2 265 : amph. italique ; amph. de Tarraconaise

D. Claire, Hayes, vol.99

D. , , vol.16

B. Claire, ;. Luis-;-kaole, and . Pabiran,

. Sabl-ox,

. Sabl-red, CATHMA 2, 4, 5, 6, 7) ; Verre ; Imbrex ; Os ; Vernissée

, Claire Rec. ; Sabl-Ox

S. Archeologique,

«. St-andré and ». N°-pcr,

, Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection : ? Environnement Le site se place à l'ouest de la commune de Nissan-lez-Ensérune, à 600m à l'est des bâtiments de La Grangette. Il occupe le versant ouest d'une petite éminence qui domine la plaine à faible altitude alentour, à hauteur de l'intersection de deux chemins. A quelques dizaines de mètres de celui-ci se trouve un calvaire

A. Le-site-est-connu-de-l'abbé-giry-sous-le-nom-st-andré-ou, Il signale la présence de « tegulae, dolia, amphores, céramiques wisigothiques et campanienne » et la découverte d'un silo, fermé d'une dalle et retrouvé vide. Il indique également la présence d'un cimetière médiéval et « d'une croix de Fer de 1789, plantée sur un socle fait d'une imposte à billettes, du Xe siècle ». Il interprète le site comme une villa romaine importante, Il signale la découverte à cet endroit de briquettes romaines (opus spicatum ?), de vases gris du haut Moyen Age et également une hache polie, p.77, 2001.

D. Le-site-est-ré-observé-par and D. Orliac-dans-le-cadre, un inventaire des sites répertoriés par J. Giry pour la ligne TGV Montpellier-Barcelone. Il met en évidence une répartition des artefacts complexe, en raison des différentes périodes d'occupations, du néolithique, jusqu'au Moyen Age. Toutefois, son étude reste incomplète car le coeur du site, 1994.

, ? Compléments d'informations

L. Mobilier-déposé-par and D. Orliac-au-musée,

, sigillée sud gauloise, etc.), se poursuivant durant le bas-Empire (amphore africaine, D-S-P), le haut Moyen Age et probablement le Moyen Age central

, Ces résultats permettent d'interpréter le site comme un établissement à longue durée d'occupation, a priori sans hiatus, peut-être fondé au Ier s. av. J.-C., comme le suggère les descriptions de J. Giry (campanienne) perdurant jusqu'au Moyen-Age central. L'habitat se double peut-être d'un lieux de culte et d'un cimetière

. De-tarraconaise, C. A. Bétique, and D. , Kaole (CATHMA 7b, ), Sabl. Ox, Sabl-Red (CATHMA 1, 2, 3, 4, 5, 6), Fer, bronze monnaie ?), imbrex, jeton, os, vernissée. NOTICES DE SITES ARCHEOLOGIQUES Commune de Poilhes NOTICE DE SITE ARCHEOLOGIQUE « Régimont-le-Bas

. ?-localisation-géographique--coordonnées-lambert-du-centroïde, 662 650 ; y : 111 965) -Altitude moyenne : 28 m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : E2 247 versant sud d'Ensérune, à quelques dizaines de mètres au sud du Canal du Midi. Les terrains sont de nature argilo-limoneuse et sont couverts de vigne sur fil

, ? Historique des recherches

, Orliac à la fin des années 1980. Suite à un charruage, il observe sur une bande de 2,5m de large des fragments d'amphore italique, de céramique campaniennes et commune, de coquillages, une clef en fer et des gros blocs de pierre. La configuration des vestiges (répartis sur une bande de 2,5m de large) lui suggère d'interpréter le gisement comme un potentiel chemin, 1987.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des prospections systématiques sur le versant sud d'Ensérune, en novembre 2009. La parcelle E 247 offrait une lisibilité mauvaise à moyenne (vigne sur fil à labours récent)

, Le site a fait l'objet d'un zonage par degrés de densité de mobilier, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, La superficie du site est estimée entre 500 ou 1000m 2 environ. La présence d'éclats et de blocs de calcaire coquillier ou de tuileau atteste un bâti en dur. Des fragments de dolium ont régulièrement été observés

, L'occupation débute à la fin du II siècle av. J.-C (amphore italique, campanienne A) et périclite dans le courant (début ?) du I siècle ap

, et la variété des céramiques observés suggèrent aujourd'hui d'interpréter le site comme un établissement à vocation agricole

, Dr. 1a), amph. indéterminée, campanienne A (Lamb 55 ; Lamb 31), campanienne B, Ibérique peinte (Sombrero de copa), Tegulae, dolium (dégr. coquillages), amph. massaliète, amph. italique

N. De and . Archeologique,

«. Régimont-le-bas, , vol.2

, 22 de la commune de Poilhes ? Localisation géographique -Coordonnées Lambert du centroïde : (x : 662 775 ; y : 111 645) -Altitude moyenne : 16 m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site, pp.2-165

, ? Historique des recherches

, Un second, toujours sous le même nom, Régimont Sud (n°22), est également associé à la découverte de monnaies (Cahier Giry VI p, Le site pourrait correspondre à plusieurs signalements de l'abbé Giry, p.259, 2001.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des recherches sur les signalements de l'abbé Giry, en novembre, 2009.

, Le site a fait l'objet d'un zonage par degrés de densité de mobilier, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, La superficie du site est estimée à 500 m 2 . La présence d'éclats et de blocs de calcaire coquillier ou de tuileau atteste la présence d'un bâti en dur. Des fragments de dolium ont été observés

. Tegulae, amph. italique (Dr. 1), amph. de Tarraconaise, amphore indéterminée, Sig. Sud Gauloise, Sabl. oydante , sabl. réductrice, tuileau, blocs (calc. Coquillier), basalte. NOTICE DE SITE ARCHEOLOGIQUE

«. Régimont-le-bas, 17 Giry de la commune de Poilhes ? ? Localisation géographique -Coordonnées Lambert du centroïde : (x : 662 158 ; y : 111 610) -Altitude moyenne : 13 m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : E2 250 pied du versant sud d'Ensérune, à 300m au nord-est du domaine de Régimont-le-Bas. Les terrains sont de nature argilo, vol.3

, ? Historique des recherches

. Le-site-pourrait-correspondre-À-un-signalement-de-l'abbé-giry and . Connu-sous-le-nom-régimont-le-bas, Il reconnaît « dolium, campanienne A, monnaies ». Il interprète le site comme une villa romaine (Cahier Giry III p, p.89

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des prospections systématiques sur le versant sud d'Ensérune, en novembre 2009. La parcelle E2 250 offrait une lisibilité moyenne à bonne (vigne sur fil)

, Le site a fait l'objet d'un zonage par degrés de densité de mobilier, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, La superficie du site est estimée à 500 m 2 . La présence d'éclats et de blocs de calcaire coquillier ou de tuileau atteste un bâti en dur. Des fragments de dolium ont été observés

. Globalement, note la rareté des céramiques

, Ce site peut être interprété comme un petit établissement à vocation agricole, qui n'a peut-être pas été un habitat permanent

, Tegulae, dolium (pouzzo. et coquillage) amph. massaliète, amph. italique (Dr. 1), amph. de Tarraconaise, amphore indéterminée, Sig. Sud Gauloise, Sabl. oydante , sabl. réductrice, tuileau, blocs (calc. Coquillier), basalte. NOTICE DE SITE ARCHEOLOGIQUE

«. Régimont-le-bas, n° 24 Giry, de la commune de Poilhes ? ? Localisation géographique -Coordonnées Lambert du centroïde : (x : 662 800 ; y : 111 900) -Altitude moyenne : 26 m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : E2 163, E2 164 -Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection : ? Environnement Le site se place à l'est de la commune de Poilhes, à 50m environ de la limite communale avec Nissan-lez-Ensérune. Il occupe le pied du versant sud de la colline d'Ensérune, à une centaine de mètres au sud du Canal du Midi. Les terrains sont de nature argilo, vol.4

, Orliac à la fin des années 1980. Suite à un arrachage de vigne, il récolte un petit lot de céramique (sigillée sud gauloise, amphore de Bétique, etc.) et observe des fragments de tegulae et dolium, 1989.

, Le site pourrait correspondre à un signalement de l'abbé Giry sous le nom Camboussut ou Tarragone, qu'il renomme ensuite La Martine Ouest. Il reconnaît « tegulae, dolium, amphore et monnaies » (Cahier Giry, VII p, p.259, 2001.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des prospections systématiques sur le versant sud d'Ensérune, en novembre, 2009.

, Les parcelles E2 163 et E2164 offraient une lisibilité mauvaise à moyenne (vigne sur fil avec labours récent)

, Le site a fait l'objet d'un zonage par degrés de densité de mobilier, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, La superficie du site est estimée à 1500 m 2 . La présence d'éclats et de blocs de calcaire coquillier ou de tuileau atteste un bâti en dur. Les fragments de dolium sont abondants

, L'occupation débute à la fin du Ier s. av. J.-C. ou au début du Ier s. après (sigillée Sud Gauloise, amphore de Tarraconaire, amphore de Bétique)

. Tegulae, pouzzolane et quartz), amph. italique (Dr. 1 ; traces de mortier), amph. de Tarraconaise, amph. de Bétique, amph. indéterminée, sigillée Sud Gauloise, claire D, claire récente

, « Régimont, vol.3

, 112 395) coordonnées révisées -Altitude moyenne : 98 m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : A2 195 colline d'Ensérune vers le sud. Le site domine ainsi le proche terroir de Régimont-le-Haut, notamment deux autres sites installés à proximité, sur le flanc et au pied de l'éperon : la chapelle dite « Basilique St Eulalie » (POI-RGM-001) et « Régimont 2 » (POI-RGM-002). Les terrains sont couverts d'une végétation de type garrigue, Historique des recherches

A. Le-site-a-Été-repéré-par and . Bouscaras, A. Bouscaras réalise un sondage d'exploration. Il révèle les vestiges d'un bâtiment de plan circulaire. La fondation, de 90 cm de large en moyenne, emploie des pierres et de la chaux. A l'intérieur, « un sol dallé de manière soigné » est mis au jour. D'après le plan du sondage, les dimensions des dalles sont variables, mais certaines paraissent être d'un assez gros gabarit (40 ou 50cm de côté), 1968.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des prospections systématiques menées sur le versant sud d'Ensérune, en novembre, 2009.

, La lisibilité était très mauvaise (végétation assez dense de type garrigue)

, Le site a fait l'objet d'une simple observation, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

. Le, Les fondations apparaissent partiellement sous la végétation. Nous ne les avons pas redégagées mais l'emploi de chaux est confirmé. Par ailleurs, la forme de la maçonnerie, du moins pour les parties visibles, atteste bien un plan circulaire. Les mesures réalisées permettent d'estimer le diamètre de la construction à environ 5m. Le mobilier céramique est quasi-inexistant dans les alentours

, En l'état, il demeure trop difficile de préciser la nature et la fonction du site (tour ?). L'emploi de mortier de chaux semble toutefois exclure la période protohistorique. En outre, l'édifice ne figure pas sur les cartes anciennes

N. De and . Archeologique,

, « Régimont, vol.4

, Altitude moyenne : 103m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : parcelle non numérotée -Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection : ? Environnement Le site se place à l'est de la commune de Poilhes. Il occupe l'extrémité sud du sommet de la colline d'Ensérune, à un peu plus de 200m à l'ouest du vallum de l'oppidum d'Ensérune. Les terrains sont de nature limonosableuse, avec de nombreux galets

D. Le-site-a-Été-repéré-par and . Orliac, Il rapporte la découverte de matériel d'époque tardo-républicaine et d'un secteur très riche en mortier de tuileau, qu'il associe aux restes d'un sol, 1987.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des prospections systématiques sur le versant sud d'Ensérune, en novembre 2009. La parcelle prospectée offrait une lisibilité nulle à très mauvaise

, Le site a fait l'objet d'un zonage par degrés de densité de mobilier, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, Associé à la présence de blocs et d'éclats de calcaire coquillier et de pierre locale, il atteste un bâti en dur. Deux ébauches de mur sont d'ailleurs visibles dans la partie basse de la parcelle

L. , sont les seuls éléments chronologiques observés. Ils suggèrent une mise en place dans le courant du Ier s. av

, L'interprétation de ce site est difficile, mais, des fragments d'opus sectile (incrustations de tesselles blanches dans certains fragments de tuileau) suggèrent qu'il relève peut être d'une nature particulière

¤. Récapitulatif-mobilier-tegulae,

, « Régimont, vol.5

, (x : 661 690 ; y : 112 435) -Altitude moyenne : 103m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : C 4, C 30, C 180, C 192 -Autre(s) parcelle(s) observée(s) lors de la prospection : ? Environnement Le site se place à l'est de la commune de Poilhes. Il occupe la zone médiane du versant sud de la colline d'Ensérune, aux abords d'une chicane du chemin appelé « chemin de Puisserguier à Régimont

, ? Historique des recherches

, Il signale la présence d'une citerne romaine. Il interprète le site comme une villa (Répertoire Giry de la commune, p.259, 2001.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des prospections systématiques sur le versant sud d'Ensérune, en novembre, 2009.

, Les parcelles C 4 et C 180 (oliveraie) offraient une lisibilité moyenne à très mauvaise, la parcelle C 180 était illisible

, Le site a fait l'objet d'un zonage par degrés de densité de mobilier, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, La superficie du site est impossible à estimer en raison de la mauvaise lisibilité générale des terrains. La découverte d'un mur semi-excavé présentant des traces d'enduit hydraulique et des restes d'un sol en béton de tuileau à son pied atteste la présence d'un bâti en dur. La diffusion du mobilier

, Sur cette zone, des éléments esquissent la chronologie de l'occupation. Elle débute à la fin du II siècle av

, Sigillée Sud Gauloise). Le site peut être interprété comme un petit établissement

D. Tegulae, Dr. 1), amph. de Bétique (Dr. 20), amph. de Tarraconaise, amphore indéterminée, campanienne A, Sig. Sud Gauloise, Sabl. oydante , sabl. réductrice, tuileau, blocs (calc. Coquillier), scorie, basalte. NOTICE DE SITE ARCHEOLOGIQUE

«. Ste-monique and ». N°-pcr,

. Giry and . De-maureilhan, Localisation géographique -Coordonnées Lambert du centroïde : (x : 661 340 ; y : 116 410) -Altitude moyenne : 68m environ -Parcelle(s) concernée(s) par le site : E 13, E 14, E 15 à Montady ». Les terrains sont de nature limono-sableuse, avec secteurs riches en calcaire

, ? Historique des recherches

. Le and . Giry, Espérou confirme la présence du site, dans le cadre des révisions de la Carte Archéologique du Nord Biterrois. L'inventeur du site est J. Mouly. Il reconnaît tegulae, dolium et informes sur une vigne à mauvaise lisibilité. Il interprète le site, nommé La Courrège sud-est, p.174, 1995.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des recherches sur les signalements de l'abbé Giry, en novembre 2009. Les parcelles E 13, E 14 et E 15, aujourd'hui regroupées en une seule et même vigne, offraient une lisibilité moyenne à bonne (vigne sur fil jeune)

, Le site a fait l'objet d'un zonage par degrés de densité de mobilier, Les bords et formes ou artefacts pertinents ont été récoltés. ? Résultats archéologiques

, La superficie du site est estimée à 5000 m 2 environ. La présence d'un bâti en dur est attestée par de nombreux éclats de calcaires coquillier

, Elle se poursuit durant le haut Empire (amphore de Tarraconaise, de Bétique, sigillée sud-gauloise

N. De and . Archeologique,

«. Eulalie,

, Quelques dizaines de mètres plus au nord, sur le sommet du promontoire se trouve le site « Régimont 3 » (POI-RGM-003). Les terrains sont couverts de friche et d'une végétation de type garrigue. ? Historique des recherches A l'origine dédiée à Ste Agnès et Ste Eulalie (inscription dite « d'Othia »), la chapelle est mentionnée avec la dédicace à St Vincent vers 899-900 : in loco quae vocant Anseduma (Ensérune) cum ecclesia quae est fundata in, Sancti Vicenti honore (Gallia Christ VI, c18) et un demi siècle plus tard en 958 (Gallia. Christ. VI, c76)

, La plus ancienne description connue de la chapelle a été réalisée par l'abbé Giniès au XIXe siècle, après son démantèlement en 1793. Il évoque de mémoire le bâtiment, peut-être encore en partie en élévation, et restitue ses dimensions (15m sur 8m). Il signale la présence de sarcophages, d'un autel, et de l'inscription dite « d'Othia ». Ces deux dernière pièces ont ensuite été déplacées au domaine de Régimont (Giniès 1861, pp.6-7

, Il mesure 116cm de haut. « Sur sa face principale, prenaient place 2 pilastres cannelés avec rudentures, un chrisme sculpté aux branches pattées auquel étaient suspendus un Alpha et un Oméga, L'inscription, qui mentionne la fondation du sanctuaire par le prêtre Othia et sa dédicace primitive à Ste Agnès et Ste Eulalie, est datée du milieu de Ve siècle (457 ?). L'autel a été décrit par O. Ginouvez, p.51, 1998.

, Les premières fouilles ont été entreprises dans les années 1915 ou 1930 par F. Mouret et l'abbé Sigal

M. Gondard and . Peut-Être-lors-d'une-nouvelle-fouille, observe « des débris de poterie grise et des morceaux de fer, une petite oenochoe grise sans dessin, une tête d'oiseau en verre bleu et oeil jaune, une bague en bronze ornée d'une croix à entrelacs et une monnaie de Gratianus » (Gondard 1937). J. Giry évoque également des sondages réalisés par A. Bouscaras (année 60 ?, 1968.

J. Lorsque and . Giry-entreprend-une-nouvelle-fouille-en, Il recense ainsi deux silos dans la partie sud, deux murs parallèles distants de 5,2m et 32 tombes. Celles-ci sont toutes orientées à l'exception d'une, placée nord-sud. Plusieurs types de sépulture sont rencontrés : sarcophages de pierre monolithique avec dalles de couverture, tombes bâties en pierres de champ (ou tombes à lauzes). La fouille concerne la partie nord-est du site, avec pour objectif le dégagement du bâtiment religieux. Elle couvre environ 100m² (16m sur 6m), 1968.

, Le site est alors laissé à l'abandon. Une notice, adressée au SRA, réalisée par D. Orliac permet de le localiser avec précision, Enfin, la chapelle est répertoriée dans l'Atlas des premiers monuments chrétiens de Gaule, 1990.

, Equipe et conditions de prospection Le site a été observé dans le cadre des prospections systématiques menées sur le versant sud d'Ensérune, en novembre, 2009.

, La lisibilité était très mauvaise (végétation assez dense de type garrigue)

, Le site a fait l'objet d'une simple observation. Quelques tessons ont été récoltés aux abords du site

, Compte-tenu des objectifs de notre intervention (simple observation), nous ne donnerons ici qu'une brève description de l'état général du site

, La superficie occupée par les vestiges est équivalente à celle observée par J. Giry : environ 250m² (Figure 4)

, Des murs, ceux identifiés par J. Giry, sont encore visibles et en élévation pour au moins l'un d'entre eux (environ 1m de hauteur) (Figure 6), Les cuves de sarcophages monolithiques ouverts apparaissent au milieu d'une végétation relativement rase, malgré quelques arbres et arbustes (Figure 5)

-. Corse, P. , and P. Editeur, La réalisation d'un levé topographique des vestiges lisibles permettrait de sauvegarder les données encore exploitables de ce site. ¤ récapitulatif mobilier Sabl. Red, marbre, tuiles, murs, sarcophages, blocs. ¤ bibliographie Barruol 1995 : Barruol (G.) : «Poilhes. Eglise St Loup de Régimont», in DUVAL (dir.), Les premiers monuments chrétiens de la France, Quelques céramiques sableuses réductrices et un fragment de marbre blanc ont été récoltés lors de l'ascension du talus. Ces éléments sont mêlés à de nombreux fragments de tuiles et blocs issus de l'érosion du site. En l'état, il paraît difficile d'apporter des informations nouvelles sur la chapelle et son cimetière, pourtant exceptionnels (lieu de culte chrétien et espace funéraire du fréquenté dès le Ve siècle), vol.III, pp.5-18, 1937.